samedi 8 octobre 2011

La Pastèque à déguster sous 40°C au soleil


Ce fruit de 3 à 5 kilo vaut son pesant d’eau (près de 92%), seule la rhubarbe pourrait rivaliser (95% d’eau) si on la consommait crue. La nature fait bien les choses puisqu’elle a pourvu de pastèques les pays chauds. Nous l’importons essentiellement d’Espagne.
A l’achat, elle doit être lourde et bien pleine
Ce melon d’eau n’a pas de goût spécifique. Mais son pouvoir désaltérant et sa chair rouge et croquante où se prélassent de grosses graines noires suffisent à ses charmes.
Et la croquer à pleine dents fait oublier les chaleurs les plus torrides



A boire et à manger

Elle appartient à la famille des cucurbitacées. Elle se plaît particulièrement dans les régions chaudes et humides du bassin méditerranéen. Connue depuis l’antiquité, elle fut introduite en Europe os des croisades ; au moyen-âge, on croyait qu’elle soulageait les fièvres et les maux d’estomac.

Sa peau épaisse protège une chair juteuse et riche en eau, qui apaise les plus  assoiffés.



En dehors des confitures, la pastèque ne se prête à aucune utilisation culinaire.
On peut compléter un buffet par un plateau de belles tranches de pastèque.
Une fois égrenée et coupée en cubes, la pastèque donne une jolie touche de couleur aux salades de fruits, panachée avec le kiwi, la pomme, l’ananas, le melon.
Son écorce remplace astucieusement le traditionnel saladier

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